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    Antéchrist

     

    L’Antéchrist, la « bête » de l’Apocalypse de Saint Jean dont le nombre est 666, doit apparaître un peu avant la fin du monde et le Jugement dernier : cet homme d’iniquité dans lequel s’incarne le Mal, prêchera une religion contraire à celle du Christ. Toutefois selon Saint Paul (seconde épître aux Thessaloniciens 2. 8-12), il sera vaincu par le Seigneur. Et alors sera manifesté l’image que le Seigneur Jésus détruira par le souffle de sa bouche et qu’il anéantira par l’éclat de son avènement. Cet impie apparaîtra avec la puissance de Satan, opérant toutes sortes de miracles, de signes et de prodiges menteurs et recourant à toutes les séductions de l’injustice pour la perte de ceux qui périssent parce qu’ils n’ont pas ouvert leur cœur à l’amour de la vérité qui les aurait sauvés.

    C’est pour cela que Dieu leur envoie une puissance d’égarement qui les fait croire au mensonge, afin que tous ceux qui n’ont pas cru à la vérité, mais qui ont pris plaisir à l’injustice, soient soumis à son jugement.

    Pour Eximenès (vita christii), l’Antéchrist sera juif de la tribu de Dan et il sera bâtard, fils de père et de fille, naîtra en Babylonie et sera fort bien doué de tous les biens de la nature, c’est-à-dire en beauté de corps et en belles paroles, généreux et libéral, fort affable et aimable. Il sera doué des biens de la fortune et de science aussi. Dans tous les arts et dans les grandes sciences, il en saura plus que Salomon ni aucun autre philosophe qui ait jamais été, et tel sera-t-il dès son enfance, car il sera né en Babylonie où il y aura abondance de maîtres en arts magiques dans lesquels il sera enseigné. Un grand Démon lui apprendra tout ce qu’il pourra et principalement l’Alchimie qui lui permettra de faire autant d’or et d’argent qu’il le voudra.

    Les démons lui enseigneront à trouver et faire de l’or, ou tout autres métaux des mines naturelles qui sont au monde, et ils apporteront de l’or au fond de la mer (cité par P. Gener. La mort et le diable, Paris, 1880).

    Selon d’autres auteurs, l’Antéchrist sera un Démon incarné (Bélial), ou sera le fils d’un incube et d’une mortelle.

    Raban Maur (Habanus Maurus. Mayence, 776-856) précise :

    L’Antéchrist fera tout le contraire du Christ. Le Christ était humble et il sera orgueilleux. Le Christ a exalté les humbles, et il exaltera les impies. Il enseignera tous les vices, détruira la loi de l’évangile, et rétablira le culte des démons. Il recherchera la vaine gloire et il se nommera Tout-Puissant.

    Il donnera à ceux qui croiront en lui des trésors en abondance, et ceux qu’il ne pourra corrompre par des trésors, il les asservira par la terreur

    Et s’il ne peut les asservir par la terreur, il les fera périr misérablement (cité par Amba).

    Si l’Antéchrist ne précède pas la fin du monde, il inaugurera une période de notre ère, sorte de carrefour qui doit marquer une véritable évolution.

    Au cours de l’histoire, certains personnages considérés comme malfaisants ont été qualifiés d’Antéchrist. Ainsi Néron, mais cette hypothèse fut réfutée par Saint Paul, car l’empereur despote, parricide et responsable de la persécution des chrétiens, ne portait pas dans son nom le nombre 666.

    D’autres reçurent également cette appellation, qui leur était donnée par ceux qui les tenaient pour des êtres éminemment nuisibles : Frédéric II de Hohenstaufern pour les guelfes, le Grand Turc pour les chrétiens, Charles Quint pour les luthériens, Luther ou Calvin pour les catholiques, Napoléon Ier pour les Anglais (Daug 151).

    L’époque contemporaine eut également ses Antéchrist : Guillaume II, rendu responsable de la Première guerre mondiale, et surtout Adolph Hitler, qui est censé en numérologie être marqué du chiffre de la bête.

    Pour Robert Ambelain, (les arcanes noirs de l’hitlérisme, 1990), Hitler correspond parfaitement à la définition de ce que l’Apocalypse et l’épître aux Thessaloniciens entendaient par là, à savoir un être hautement maléfique, ayant pour objectif l’extinction de la partie spirituelle de l’humanité et son ravalement sur le plan animal. Son comportement correspond en outre à celui de l’Antéchrist vu par Raban Maur, évêque de Mayence : « Tout y est depuis les camps d’amour échangistes (Lebensborn), les magiciens de la Thullé et les astrologues divers, les dons financiers et les domaines afférents à ses fidèles, le retour au culte des anciens dieux germano-scandinaves, le serment d’allégeance totale à sa seule personne, le projet de création d’une race de « Seigneurs » et celle d’un type nouveau de surhomme libéré de la conscience, etc…

    En un mot et si l’on atténue l’outrance eschatologique  chrétienne de Raban Maur, on retrouve intégralement Adolph Hitler, l’homme du mal de la prophétie paulinienne.

    Toujours pour Ambelain, le venue de ce « fils d’iniquité » (Hitler), a donc bien coïncidé non pas avec la fin du monde, mais avec la fin d’un monde.

    Soixante-huit millions de morts, tant militaires que civils, de multiples génocides, des villes et des villes rasées sous un feu venu du ciel, deux empires coloniaux couvrant l’Asie et l’Afrique, anglais et français, et qui, en disparaissant laissent derrière eux la guerre civile en Asie comme en Afrique avec de nouveau des millions de morts (Pakistan, Corée, Viêt-Nam, Cambodge etc…)

    Les fidèles de l’Eglise baptiste des centres affirment quant à eux que l’Antéchrist est né le 22 février 1962 et qu’il fait partie d’un complot synarchique visant à instaurer le règne du mal : maladies, drogues, rock’n roll, tabac, alcoolisme, avortements, communisme et informatique.

    Nostradamus a prédit pour 1999 l’arrivée de l’Antéchrist (né en Chine ou au Japon).La guerre et les cruautés qu’il amènera dureront jusqu’à l’an 2026.

    Pour finir, signalons que le film de Roman Polanski, Rosemary’s baby (adapté du Roman d’Ira Lévin, écrivain américain n é en 1929), fut rendu responsable de la mort de Sharon Tate, femme du réalisateur, qui était enceinte lorsqu’elle fut victime avec d’autres du massacre de Cielo Drive (août 1969) : une invérifiable rumeur prétendit que Roman Polanski aurait trahi les secrets d’une secte satanique en portant à l’écran le viol bestial de Rosemary par Satan, sous forme d’incube, dans l’atmosphère tragique et délirante d’un immeuble new-yorkais peuplé de sorciers, l’obligeant à engendrer après d’atroces souffrances, un monstrueux Antéchrist.

     

     

     

     


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    Feng shui - Les couloirs

     

    Ou qu’elles soient placées, les configurations longues et étroites, représentent toujours un élément nocif dont il faut se protéger. Certains couloirs tombent dans cette catégorie. Le Ch’i s’y engouffre sans retenue, provoquant un sérieux déséquilibre énergétique, qui se répand à travers toutes les pièces que le couloir dessert. Les couloirs sont associés aux artères de la maison. Ils lui permettent aussi de respirer librement. Quand ils sont trop étroits (de largeur inférieur à la taille du maître de maison) le Ch’i étouffe littéralement, provoquant une sensation semblable aux gens qui occupent les lieux. Les couloirs symbolisent également notre avancée dans la vie, il vaut donc mieux les rendre agréables à traverser. Les couloirs de plus de quatre mètres de long, doivent être divisés en plusieurs sections afin de ralentir le flot du Ch’i. Quand ils sont étroits, l’intervention peut s’effectuer de différentes façons :

    -   En disposant une portière en perle à mi-chemin du couloir.

    - Par une succession de tapis de couleurs différentes (lignes transversales seulement).

    -  Un revêtement au sol dont le motif varie à intervalles réguliers.

    -  En installant des miroirs, en alternance, le long des deux murs, chacun reflétant un élément décoratif, situé sur le mur opposé.

    -  Au moyen de sources lumineuses, dirigées à la foie vers le sol et le plafond.

    - Par une série de cristal rond à facettes suspendus au plafond à intervalles réguliers.

    -  En suspendant de légers mobiles qui n’obstruent pas le passage.

    Pour les couloirs plus larges, il suffit de placer de grandes plantes vertes, des meubles aux angles arrondis ou autres objets le long des murs. Ou de créer des espaces de repos, nantis de fauteuils ou de canapés, joint à une bonne source d’éclairage. Les couloirs trop hauts de plafond peuvent être diminués visuellement, en y suspendant des panneaux de tissus ou en installant un faux-plafond (de préférence opaque, pour qu’il puisse diffuser un bel éclairage). Les couloirs sombres repoussent le Ch’i, autant qu’ils font peur aux enfants. Il s’avère donc indispensable de les munir d’une bonne source d’éclairage (qu’on peut faire fonctionner à chaque bout du couloir). Il est conseillé d’orner le mur opposé à chacune des portes donnant sur un couloir, d’une illustration joliment colorée (ou autre élément décoratif). Il ne faut pas poser un miroir au bout d’un très long couloir, ce qui ne ferait qu’accentuer la vitesse du Ch’i. Un bel et grand objet, agréablement illuminé, est mieux indiqué. 


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    Feng shui - Les cheminées

     

    Le feu est une manifestation du soleil dont la chaleur et la lumière insufflent la vie. Une cheminée à l’âtre qui flamboie, dégage un éclat qui réjouit l’atmosphère des endroits même les plus lugubres au départ. Provoquant l’enthousiasme comme la frayeur, le feu doit être fermement contrôlé dans son lieu de combustion. Dans la pratique du Feng Shui, il fait toujours l’objet de mesures très attentives. Intervention : dans le cycle des cinq éléments, l’eau et la terre jouent le rôle de sentinelles du feu, en l’empêchant de se propager. L’élément Eau s’introduit en posant un grand miroir sur le manteau de la cheminée ( ou une illustration comportant une masse d’eau ), remède d’autant plus important que la cheminée occupe le secteur des richesses du Bagua, ( qu’elle risquerait autrement de faire flamber ). L’élément Terre est généralement présent dans les briques qui recouvrent l’intérieur de la cheminée. L’âtre vide d’une cheminée aspire le Ch’i à l’extérieur par son conduit, réduisant de beaucoup ses capacités d’enrichissement de l’espace. Intervention : remplir le foyer de bûches prêtes pour la flambée prochaine, ou le dissimuler derrière un écran ou une porte. Dans les périodes ou la cheminée ne sert pas, un arrangement décoratif comportant un objet propre à chacun des cinq éléments, est une mesure efficace contre les fuites de Ch’i. 


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  • Le cyprès

     

    Grâce à sa longévité et à sa verdure qui persiste en hiver, c'est un arbre sacré chez de nombreux peuples où il est nommé arbre de vie. Chez les grecs et les romains, le cyprès est en rapport avec les divinités de l'enfer et il est l'arbre des régions souterraines. Lié au culte de Pluton, dieu des enfers, il orne les cimetières.
    Sur le pourtour méditerranéen, le symbolisme des conifères en fait un arbre funéraire. Leur feuillage persistant et leur résine incorruptible évoquent l'immortalité et la résurrection.
    Tchouang-tseu dit que les frimas de l'hiver ne font ressortir qu'avec plus d'éclat la force de résistance du cyprès, qu'ils n'arrivent pas à dépouiller de ses feuilles.
    Dans la Chine ancienne, consommer des graines de cyprès procurait la longévité. La résine du cyprès permettait de marcher sur l'eau si l'on s'en frottait les talons, elle rendait le corps léger.
    Origène fait du cyprès un symbole des vertus spirituelles car le cyprès est d'une très bonne odeur, celle de la sainteté.

    Ainsi, le cyprès du Cachemire, terme poétique récurrent de la littérature persane ressemble à son cousin le cyprès de la littérature chinoise, qui joue un rôle important dans les rituels religieux.
    Il est dit dans le Livre des Rois de Ferdowsi que Zarathoustra amena de la région du Cachemire un cyprès fabuleux, d’une taille impressionnante et provenant du paradis, et qu’il le déposa devant la porte du temple zoroastrien de "Barzin Mehr". Ces cyprès, les "thuyas", sont encore considérés comme des arbres à vœux, notamment dans l’ouest du pays, en particulier dans le Kurdistan.

    Les origines du cyprès sont aussi mystérieuses que le folklore qui l’entoure. On pense qu’il est originaire de l’ancienne Mésopotamie, entre le Tigre et l’Euphrate, région qui était aussi la terre natale des Etrusques. On pense que ce sont eux qui, à l’origine, ont apporté le cyprès en Toscane lorsqu’ils ont commencé à s’y installer. La longévité du cyprès, le fait qu’il reste toujours vert et sa senteur résineuse lui ont valu son caractère sacré. Les Etrusques plantaient cet arbre tout autour de leurs habitations, aussi près que possible car ils croyaient que son parfum frais purifiait l’air.

    Le cyprès est un des arbres d’Hadès, dieu de l’Autre Monde dans la mythologie grecque, et il est dit qu’il vivait près d’un grand cyprès. Les tribus païennes méditerranéennes sculptaient des idoles dans du bois de cyprès car il est remarquablement résistant (presque imputrescible). Les Phéniciens et les Crétois plantaient des cyprès près des tombes pour donner la vie éternelle. On le plante encore près des maisons pour apporter à leurs occupants des vies longues et une bonne santé. La symbolique du cyprès est donc, depuis longtemps, celle de la vie éternelle, à cause de son feuillage toujours vert, de son bois presque imputrescible et de son odeur d’encens. C’est la raison pour laquelle son bois est utilisé pour la fabrication des cercueils des dignitaires civils ou religieux. 

    En Magie : féminin, Saturne, eau
    Parties utilisées : feuilles, brindilles, fruits, écorce, bois, résine et huile essentielle.
    Le cyprès peut être utilisé comme ingrédient dans la magie saturnienne : croissance, questions légales, chance, prospérité, spiritualité. Il est utilisé en temps de crise, et plus spécialement à la mort d’un proche. Il soulage l’esprit, et allège la peine si on le porte sur soi lors des funérailles. Les rameaux de Cyprès sont utilisés dans les charmes de protection et de bénédiction. On peut aussi l’utiliser pour la guérison. Le Cyprès étant aussi un symbole d’éternité et d’immortalité, son bois a longtemps été porté pour prolonger la vie, pour faire des baguettes de guérison ou des baguettes d’invocation des dieux. Les racines et les cônes du Cyprès ont eux aussi des pouvoirs de guérison, tout comme le feuillage une fois séché et brûlé comme de l’encens. L’écorce de cyprès, séchée et réduite en poudre, fait également un encens de grande qualité. On peut ainsi consacrer ses outils rituels dans sa fumée.

    Le cyprès était déjà connu en Mésopotamie, en effet le cyprès avait des vertus médicinales par l'huile qui était extraite de sa noix, cette huile était très efficace pour soigner les affections dusystème nerveux. Les cyprès appartiennent aux paysage d'Italie depuis 
    l'Empire de Rome. C'est les légionnaires romains qui, rapportèrent des graines de cyprès à leur retour des campagnes d'Asie Mineure, des îles de Chypre, de Crète et de Rhodes. Ces graines de cyprès ont été semées tout au long de la célèbre voie Appienne, les jeunes cyprès y croissaient quand l'apôtre Pierre (Saint-Pierre), rencontra le Christ et lui demanda "Quo vadis, Domine" ? qui veut dire "Où vas-tu, Seigneur" ?. Des images de cet arbre qu'est le cyprès ont été retrouvées sur des fresques à Pompei. On retrouve aussi les cyprès dans le tableau "l'Annonciation", l'un des plus célèbres tableaux de Léonard de Vinci, qui est est exposé à la Galerie des Offices de Florence, sur cette peinture réalisée entre 1473 à 1475, on remarque un ange à genoux qui se trouve au premier plan d'un décor toscan, jardin et silhouette de cyprès en arrière plan. Les égyptiens utilisaient le cyprès pour le bois des sarcophages, ce bois est renommé pour être imputrescible (qui ne peut pas pourrir). 

    Quand on observe le cyprès, son feuillage toujours vert nous renseigne déjà sur la notion d’éternité, une vitalité mystérieuse et invisible qui perdure au fil des saisons. Son port est majestueux, il s’élance vers le ciel, très fier, très droit; cette verticalité nous invite à la méditation, à une communication possible avec un « ailleurs », une élévation spirituelle sans aucun doute. Raison majeure pour laquelle il a fait longtemps partie de rituels sacrés.Mais le Cyprès nous parle surtout d’immortalité et de renaissance; et si on le plante en grande quantité dans les cimetières, c’est bien pour donner la vie éternelle.

    Dans la mythologie grecque, on raconte qu’un demi-Dieu, Kyparissos (nom grec du Cyprès), avait par mégarde, tué un cerf, vénéré par les nymphes de la forêt. À la suite de l’accident, Kyparissos, détruit par le remords et le chagrin, devint inconsolable et demanda aux Dieux de le faire mourir. Ces derniers eurent pitié de lui et le transformèrent en arbre, afin qu’il continue à vivre très longtemps, sans culpabilité et dans la paix.

    On retrouve dans la mythologie beaucoup de végétaux anciennement dieux, demi-dieux ou simples mortels. Les histoires de Daphné (laurier), du berger Atis (pin) ou d’Aphrodite (la rose) et bien d’autres encore, semblent justifier cette vénération. Ainsi, le Cyprès va être le symbole de la transformation et de la résurrection, sur un plan psychologique autant que physique. On le retrouve dans d’autres textes helléniques avec les mystères de Déméter et Perséphone, les déesses chargées d’assurer la pérennité des âmes au-delà de la vie.Dans la pharmacopée chinoise, les graines du Cyprès sont consommées pour prolonger la vie.

    Portrait botanique
    Le Cupressus semper virens - qui signifie « Cyprès toujours vert » - a donné son nom à la famille des Cupressacées, caractéristiques du paysage méditerranéen, mais aussi répandue dans diverses régions, parfois fort éloignées de ses lieux d’origine: pays d’Orient, îles de la Mer Egée, Asie mineure, Inde du Nord, Afghanistan. C’est une espèce très ancienne (ère tertiaire – 5,3 millions d’années). On le trouve mentionné dans un texte assyrien vieux de 3500 ans. Il possède une longévité exceptionnelle et certains Cyprès contemporains ont été estimés âgés de 2 000 ans.

    Encore de nos jours, au Tibet, il fait partie de rituels sacrés de purification et de détoxication psychique.

    Dans l’Egypte ancienne, on fabriquait des sarcophages en bois de cyprès. Étroitement lié à la mort, il est vrai que cet arbre semble croître naturellement dans les cimetières, silhouette familière et rassurante, il est malheureusement resté attaché à un symbole de deuil.

    Chez les Perses, il était l'arbre primitif du paradis iranien, l'image même d'Ormuzd et à ce titre, était planté devant tous les temples et tous les palais, chez les Grecs plusieurs bois de cyprès avaient gardé un caractère sacré. Ces croyances ont beaucoup contribué à répandre cet arbre en France. En Provence où le cyprès fait partie du paysage, les propriétaires des mas plantaient deux cyprès à l'entrée de la propriété. Ces cyprès étaient destinés en plus de la marque d'entrée dans la propriété à devenir les futures poutres maîtresses du toit du mas quand viendrait le temps de refaire la toiture.

     


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    Prière à l’Archange Saint Michel

     

    Saint Michel Archange pour la gloire de Dieu, ta victoire sur les démons et les esprits mauvais est connue.

    Archange Saint Michel, la puissance de ton glaive a chassé devant toi pour les conduire en enfer, les démons attaquant, avec courage tu les as affrontés.

    Je demande ton secours pour les chasser de ma maison et de mes biens.

    Je demande ton secours pour les chasser de ceux qui m’entourent comme de moi-même.

    Par ta Force et ta Gloire, les esprits mauvais ordinaires et extraordinaires retourneront au néant. Ta Gloire est celle de Dieu le Père.

    Au nom du Père + Au nom du Fils + Au nom du Saint-Esprit + Ainsi soit-il +

    Cette prière est à lire une fois matin et soir, et à chaque fois que l’on sent une attaque.

     

     

     


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