• Le zodiaque : symbole unificateur

    Conçu à l’image de l’Univers, le Zodiaque met en relation à l’intérieur de son cercle, les septs planètes, les douze signes, et les quatre substances principales dont sont constitués tous les corps de la nature, appelées « élément ». Chacun des douze signes est associé à un des quatre éléments et assujetti à une des sept planètes. Comme dans l’Univers tout participe à tout.


    Les quatre éléments

    Selon la doctrine cosmologique des philosophes grecs de l’Antiquité, Pythagore, Empédocle, Platon et Aristote, les quatre éléments dont toutes choses sont composées répondent aux apparences et aux états de la matière. Chaque élément résulte de la combinaison de deux principes primordiaux : la Terre procède du « Sec » et du « Froid », l’Eau de « l’humide » et du Froid, le Feu du « chaud » et du « Sec, l’Air du « Chaud » et de « l’Humide ».

    Le système des quatre éléments, les « éléments », fut relié à l’astrologie et joua un rôle important dans cette discipline ésotérique.
    A la doctrine des quatre éléments établie par Empédocle, les pythagoriciens ajoutèrent des conceptions mathématiques et géométriques. Pour Philolaüs (env. 450 av J.C), la Terre est caractérisée par le « cube », le Feu par le « tétraède », l’Air par « l’octaèdre », l’Eau par l’isocaèdre ».
    Les astres sont considérés comme un cinquième élément qui relient les quatre éléments entre eux. A ce cinquième élément correspond le « dodécaèdre », figure pentagonale de douze côtés qui, selon l’alchimiste Stéphanus d’Alexandrie (VI-VII siècles après J.C), répond aux douze signes du zodiaque.


    Les douze signes

    Au IIe siècle de notre ère, Claude Ptolémée a exposé dans la Tétrabible les grands principes de l’astrologie universelle et personnelle. Les signes sont de genres différents. Six signes ont une nature masculine, six une nature féminine. Les natures qui leur ont été attribuées n’ont aucun rapport avec leurs représentations figurées ou leurs noms. En partant du bélier considéré comme « le mâle et le maître », les genres alternent de signes en signes. Cet ordre alternant leur est assigné car « l’union du mâle et de la femelle est nécessaire ». Les signes féminins obéissent aux signes masculins.

    Parmi les quatre éléments, le Feu et l’Air sont attribués aux signes masculins, la Terre et l’Eau aux signes féminins.
    Les douze signes sont aussi répartis selon « les vertus qu’ils ont par eux-mêmes et dans leurs relations entre eux. Deux signes, le Cancer estival (appelé aussi écrevisse) et l’hivernal Capricorne sont dits « tropiques, deux autres le Bélier printanier et l’automnale Balance, « équinoxiaux ».
    Les quatre signes qui suivent les « tropiques » et les « équinoxiaux » sont appelés « solides » (ou parfois « fixes ») : ce sont le Taureau, le Lion, le Scorpion, et le verseau. Ils sont nommés ainsi car lorsque le soleil s’approche d’eux, les humidités, les chaleurs, les sécheresses, et les froidures selon la saison nous touchent plus violemment et plus fermement, et qu’alors nous sommes plus exposés à eux, plus sensibles à leur pouvoir.
    Enfin viennent les quatre signes dits « bicorporels » ou de double-corps, à savoir les Gémeaux, la Vierge, le Sagittaire, et les poissons, ainsi nommés car ils sont placés entre les « solides », les « tropiques », et les « équinoxiaux », et ont des natures semblables à eux en leur commencement et en leur fin.
    Les signes du zodiaque situés à une égale distance du même point équinoxial quel qu’il soit, sont dits « commandants » ou « obéissants » selon qu’ils sont localisés dans l’hémisphère septentrional ou dans l’hémisphère méridional.
    Des droites relient certains signes entre eux, traçant des lignes géométriques équilatérales qui divisent le cercle zodiacal en parties égales, rassemblant les signes en différents aspects.
    L’aspect « diamétral » ou en « opposition » se fait en une ligne droite tirée à partir de deux signes opposés. L’aspect « trine » ou « trigone » (contenant 120 degrés) se tire par les trois signes masculins de Feu (bélier, lion, sagittaire), ou d’Air (Gémeaux, Balance, Verseau), ou les trois signes féminins de Terre (Taureau, Vierge, Capricorne), ou d’Eau (Cancer, Scorpion, Poissons. L’aspect « quadrat » ou « carré » (contenant 90°)met en relation soit les signes équinoxiaux et tropiques (Bélier, Cancer, Balance, Capricorne), soit les signes fixes (Taureau , Lion, Scorpion, Verseau), soit les signes de double-corps (Gémeaux, Vierge, Sagittaire, Poissons). Enfin le « sextil » ou aspect hexagonal (contenant 60°) se forme à partir des six signes masculins ou des six signes féminins.

    Les aspects triangulaires et sexangulaires ont « sympathie » en leur nature, car alors, les signes masculins ou féminins se portent de l’un à l’autre. Quant aux aspects « carrés » et en « opposition », ils ne conviennent pas ensemble car une telle constitution se fait en signes opposés.

    Tels sont les aspects admis par Ptolémée. Quant aux signes contigus, et à ceux qui sont séparés par cinq signes, et par conséquent »coupent » le cercle en parties inégales, on les appelle « inconjoints » et « étrangers » car ils n’ont aucune familiarité entre eux.







    Les sept planètes

    Aux sept sphères ou degrés célestes correspond une des sept planètes. Une des doctrines fondamentales de l’astrologie est l’importance du rôle joué par les planètes, et l’attribution à chacune d’elle, d’un ou deux signes du cercle zodiacal. Les planètes ont au ciel leurs « maisons » où elles ont tout pouvoir.
    La croyance au domicile planétaire, née à l’époque hellénistique, s’est peu à peu formulée en des règles qui se sont vraisemblablement fixées au IIe siècle de notre ère, à l’époque où Claude Ptolémée écrivit ses ouvrages astrologiques.
    Saturne, Jupiter, Mars ? Mercure et Vénus, les cinq planètes que les égyptiens appelaient les « astres qui ignorent le repos »gouvernent chacune deux signes, et par conséquent ont deux « maisons » dans le Zodiaque , une diurne et une nocturne. Le soleil, astre de jour, a une maison diurne et gouverne un signe. La Lune, astre de nuit, à un domicile nocturne et gouverne un signe.
    Mais pour quelles raisons une planète fut-elle domiciliée dans tel signe du zodiaque plutôt que dans tel autre ? Pour des « raisons naturelles rétorque Ptolémée.
    En effet, comme des douze signes, deux septentrionaux, le Cancer et le Lion, sont plus près que les autres de notre Zénith (point de la sphère céleste situé sur la verticale ascendante de l’observateur), il a été jugé que ces deux signes sont les maisons de deux plus grands et plus puissants luminaires. Le soleil est donc domicilié dans le Lion (signe masculin), la Lune dans le cancer (signe féminin).
    Le demi-cercle qui va du Lion au Capricorne étant estimé « solaire », l’autre qui va du Verseau au Cancer, estimé « lunaire, chacune des cinq planètes à une « maison »diurne dans le demi-cercle solaire, et une « maison » nocturne dans le demi-cercle lunaire. Ces domiciles leur on été attribués selon la disposition de leurs orbes et les particularités de leurs natures.
    A Saturne parce qu’il est extrêmement froid, et qu’aussi sa sphère est la plus haute et la plus éloignée des luminaires, ont été baillés les signes opposés au Cancer et au Lion, à savoir le Capricorne et le Verseau, les quels sont, et froids, et hivernaux.
    Jupiter qui est de nature tempérée, et soumis à la sphère de Saturne, a reçu les deux signes proches du Capricorne et d Verseau, à savoir, le Sagittaire et les Poissons.
    A Mars, desséchant et placé sous l’orbe de Jupiter, ont été donnés le Scorpion et le Bélier car ils sont voisins des maisons de Jupiter. Vénus dont la nature est tempérée et qui est placée sous l’orbe de Mars, gouverne les deux signes proches des maisons de ce dernier, la Balance et le Taureau. Enfin à Mercure, qui est placé sous les orbes des autres planètes, et qui aussi est plus proche des luminaires, ont été attribués les signes plus proches de ces mêmes luminaires, les Gémeaux et la vierge.

    Outre leurs maisons officielles, « domus » où elles règnent en maître, les planètes sont à l’apogée de leur puissance dans un signe déterminé du Zodiaque, où elles se réjouissent. Leur nature y étant exaltée, elles sont dites alors « en exaltation ». Par contre, quand elles se trouvent établies dans le signe opposé à leur « exaltation », elles voient le pouvoir de leur autorité écrasé, et sont dites en dépression ou en « chute ».
    Entre leurs phases d’exaltation et de dépression, on dit qu’elles sont en « déclinaison ». Les causes de ces exaltations et de dépressions sont dues soit à leur position dans le ciel, soit à leur nature.
    Chaque signe étant divisé en trois parties ou décans, chaque décan est affecté à une planète. Par exemple dans le Bélier le premier décan est à Mars, le second au soleil, le troisième à Vénus.
    Dans chaque signe, domaine de trente degrés, chacune des cinq planètes est propriétaire d’un lot de degré, propriété appelée »termes » ou « confins », représentant leur influence spécifique et équivalant à leur présence réelle.

    Les planètes entretiennent des relations non seulement avec les signes, mais aussi entre elles. Quand l’intervalle de degrés qui les séparent n’est pas trop grand, celles qui précèdent appliquent à celles qui suivent, tandis que ces dernières défluent de celles qui précèdent. Lorsqu’elles se rencontrent en la ligne tirée du Zodiaque, on dit qu’elles sont en conjonction.
    Les planètes se comportent comme des êtres humains, elles ont des sentiments, des états d’âmes. Elles portent aux signes de l’amitié, ont des préférences, ordonnent, se réjouissent, s’exaltent ou traversent des phases de dépression.
    A l’origine on disait l’astre de Saturne ou bien l’astre de Vénus, sous l’influence des pythagoriciens et des stoïciens, l’astre se confondant avec le Dieu qu’il représentait, on en vint à dire simplement Saturne, ou Vénus, ou Jupiter.
    On les adorait ou on les craignait, car elles pouvaient être dans leurs relations avec les signes, bénéfiques ou maléfiques. Alors on leur adressait des prières, on chantait leur gloire. Au Ive siècle après J.C, Firmicus Maternus, dans Les Mathésis ou Traité d’astrologie, compose un hymne aux planètes et les implore d’être bienveillantes envers son empereur et l’Empire Romain.



    Tableau des termes selon Ptolémée

     


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    Le zodiaque

     
     
     
     
     
     
     
     
    Le zodiaque : enveloppe céleste

    Dans l’antiquité, le zodiaque fut associé aux lieux sacrés où se célébraient les initiations aux mystères.
    Le mystagogue, prêtre et guide initiateur aux mystères, demandait au fidèle de prêter serment au nom de « l’enveloppe céleste du cercle aux douze signes » et des sept planètes.
    Cette initiation qui semble se rapporter aux rites des sectes pythagoriciennes se faisaient par réponses du prêtre, et réponses de l’initié, ce dernier s’engageant par le serment au nom du zodiaque à garder « secret », occulte, tout ce qui lui a été révélé et à ne le transmettre qu’à des initiés. 

    Le zodiaque était le symbole d’un savoir ésotérique, « esôterikos », c'est-à-dire « de l’intérieur », « réservé aux seuls adeptes », la connaissance ne pouvant être acquise uniquement par la raison, mais révélé par une initiation à la sagesse et à la piété.
    Dans l’Egypte hellénisée des Ptolémées , à Alexandrie, lieu de rencontres de savants et de penseurs babyloniens, hébreux, et grecs, s’était peu à peu élaboré une astrologie qui avait assimilé des traditions issues de cultures diverses, et qui aussi, s’était imprégnée de la sagesse des dieux égyptiens. Thot, divinité égyptienne d’Hermopolis, sage au très grand savoir qui mesure et calcule le temps, règle le cours de la Lune et possède la science de l’écriture, fut à partir du IIe siècle avant Jésus-Christ, identifié par les grecs à leur dieu Hermès, inventeur de la lyre heptacorde dont on disait que les cordes correspondaient aux sept planètes. Les vibrations des sept cordes étaient en parfaite harmonie, tout comme les gravitations des sept planètes dans leurs orbes respectifs.
    Par la proportion de leurs intervalles, les planètes, instrument céleste, donnaient les sept notes de la gamme. Au son de la lyre, Hermès modulait l’harmonieuse musique de l’Univers.
    Sous le nom d’Hermès-Thot, ou d’Hermès le « Trismégiste », le « trois fois très grand » circula un ensemble d’écrits rédigés en langue grecque, à des dates différentes, et traitant de sujets à la fois scientifiques et religieux.
    Cette littérature dite « hermétique » dans laquelle se mêlaient quelques éléments de la religion égyptienne, du judaïsme et les doctrines pythagoriciennes, platoniciennes, aristotéliciennes et stoïciennes de la philosophie grecque, se répandit dans tout le bassin méditerranéen.

    Les plus anciens écrits des « Hermetica » grecs ont trait à l’astrologie (les historiens font remonter l’origine de ces documents jusqu’à la moitié du IIe siècle avant notre ère). Puis les écrits hermétiques abordèrent sous la forme de dialogues un enseignement sur le démiurge, l’Univers et l’homme. Hermès Trismégiste qui dit avoir eu la révélation au cours d’une « vision » enseigne que par la contemplation de « l’image de Dieu », non pas avec le « logos » (la raison) mais avec les « yeux du cœur », l’Homme trouvera le chemin qui mène « aux choses d’en haut ».
    Dieu est invisible « si donc tu veux voir Dieu, dit-il, considère le soleil, considère le cours de la lune, considère l’ordonnance des astres ».

    Le Trismégiste révèle aussi que le corps matériel est une tente dans laquelle l’âme est emprisonnée, et cette « tente » a été constituée par le cercle du Zodiaque, qui a son tour est composé d’éléments, douze en nombre, nature unique, mais figure qui peut prendre toutes les formes pour l’égarement de l’Homme.

    Les douze signes du zodiaque, agissant en accord, marquent l’homme à sa naissance, et lui sont selon leur configuration avec les planètes, bénéfiques ou maléfiques.

     


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    La bibliomancie

     
    Comme justement je viens de me faire une petite séance, je me suis dit que ça serait sympa d’en parler ici et de partager avec vous cette méthode de divination toute simple, mais efficace.

     

    La bibliomancie est un art divinatoire permettant de prédire l’avenir en ouvrant au hasard une page de la bible (ou d’un livre sacré), en posant ou non une question précise.

     

    Il suffit d’ouvrir une page au hasard et de poser le doigt, sans regarder, sur l’une des pages. On lit ensuite la phrase ou le paragraphe du passage sélectionné.

     

    Si la bible et les livres sacrés étaient privilégiés il y a plusieurs siècles pour exercer cet art, cela s’est étendu ensuite à l’utilisation de livres dits plus » classiques ». On utilise aujourd’hui n’importe quel livre, ce qui n’enlève rien à la fiabilité des prédictions.

     

    On ne cherchera pas là à interpréter le sens de la « réponse » par rapport au sujet général du livre ou de la page en question, mais uniquement par rapport à la phrase ou au passage sur lequel on aura posé le doigt, qui sera en principe la réponse aux questionnements qui nous préoccupent. Il peut arriver bien entendu que la réponse nous paraisse floue ou carrément incompréhensible, dans ce cas mieux vaut laisser tomber et recommencer plus tard. Comme dans toute forme de divination, il se peut que ce ne soit tout simplement pas « le bon moment », et dans ce cas il ne servira à rien d’insister pour forcer une réponse.

     

    Ceci dit il m’est arrivé de ne comprendre une réponse que bien plus tard, une fois l’évènement arrivé.

     

    Enfin pour avoir testé, je crois que l’on peut utiliser n’importe quel livre, après à chacun de voir avec quel livre il se sent le plus à l’aise. Personnellement certains m’inspirent et d’autres pas du tout. En réalité j’ai deux ou trois livres fétiches que j’ai tendance à reprendre assez souvent. 

     

     

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    Quelques méthodes de tirage

     

     

     

     

    Les tirages que je vais proposer ici sont ceux que j’utilise le plus souvent. Ils peuvent d’ailleurs s’appliquer à presque tous les jeux divinatoires. Je dis presque, car je ne les connais bien sûr pas tous. 


    La réponse à une question

    Cette technique vous permettra de répondre aux questions que vous vous posez. Quel que soit le sujet. Par exemple :

    Vos futures relations avec une personne

    Pour cela il vous suffit de positionner en haut, la carte qui vous représente (ou celle de la personne qui consulte) et le carte de la personne au sujet de laquelle vous vous interrogez (ou de laquelle votre consultant s’interroge)

    Mélangez ensuite les autres cartes en vous concentrant sur votre question, coupez le jeu (sans regarder les cartes) et étalez les cartes face cachée devant vous. Choisissez ensuite 5 cartes, que vous disposerez une à une, de gauche à droite (toujours face cachée), sous les deux premières cartes.

    Perso si je n’ai pas de question particulière, je mets 5 cartes sans rien au dessus.


    Un déménagement

    Procédez de même en plaçant en haut la carte qui représente le foyer (l’as de cœur).


    Les 13 cartes

    Mélangez les cartes tout en vous concentrant, puis placez le paquet de carte devant vous face cachée. Coupez ensuite le jeu en deux tas, les plus égaux possible. Retournez ces deux tas de manière à voir les images.
    Vous allez d’abord interpréter les cartes par paires. Vous affinerez la lecture de chaque couple de carte, avec celle de la paire suivante.
    Si les tas sont inégaux, ne vous occupez pas des quelques cartes restant dans l’un des deux.

    Cette première phase terminée, rassemblez les cartes et étalez les devant vous face cachée. Choisissez ensuite 13 cartes, que vous disposerez, une à une, en arc de cercle ou en ligne horizontale, de la gauche vers la droite.
    Ceci fait choisissez une carte au hasard et retournez-la. Puis comptez jusqu’à 5 en partant de celle-ci, retournez la cinquième et associez-la à la première. Continuez ainsi (la cinquième carte est votre nouveau point de départ), de cinq en cinq, jusqu’à ce que les 13 cartes soient retournées.
    Dans cette méthode, on tient tout de même compte également des cartes voisines pour l’interprétation.
    Vous pouvez utiliser les cartes restantes pour recouvrir les cartes si vous souhaitez éclaircir certains points.


    Le tirage en croix

    Mélangez les cartes tout en vous concentrant. Coupez le jeu et étalez les cartes face cachée devant vous.
    Choisissez 5 cartes, une par une et disposez-les en croix.

    La première en haut, symbolise ce qui domine votre vie 
    La deuxième, placée sous la première, exprime l’ensemble de vos désirs, de vos espoirs, de vos projets et de vos craintes.
    La troisième, placée sous la deuxième, correspond au travail et aux efforts que vous avez à accomplir pour progresser, ou bien ce dont vous devez vous méfier.
    La quatrième, placée à gauche de la deuxième, rassemble tous les évènements du passé, proche ou lointain.
    Et enfin la cinquième, placée à droite de la deuxième, représente l’avenir, l’avenir immédiat et ce vers quoi vous vous dirigez.

    Bien entendu vous pouvez recouvrir ces cartes, si vous souhaitez davantage d’éclaircissements.


    La tendance de la semaine

    Mélangez vos cartes, coupez le jeu et étalez-le face cachée devant vous. Choisissez 7 cartes que vous disposerez de gauche à droite une à une. Chaque carte en partant de la gauche correspond aux jours de la semaine, en partant du lundi. Ce tirage vous permettra de vous faire une idée sur les évènements et la tendance de la semaine.
    Vous pouvez également les recouvrir.


    Il existe bien d’autres méthodes de tirages. Avec la pratique vous apprendrez à vous familiariser avec ceux qui vous conviennent le mieux, et pourquoi pas à imaginer les votre en vous fiant à vos propres ressentis. 


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    La boule de cristal

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Lire l’avenir avec une boule de cristal

     Pour beaucoup, c’est la manière la plus connue de lire l’avenir. On peut se procurer une boule de cristal dans des boutiques spécialisée ou sur internet. Si elle est ancienne, attention, la tradition déconseille d’utiliser la boule d’une autre personne, afin de ne pas aspirer l’énergie de celle-ci.
     
    Types de boules de cristal

    On peut trouver des boules de cristal de tailles et de formes différentes, faites d’un cristal clair parfait, d’un cristal nuageux, ou comportant un défaut permettant de s’y concentrer ou déclencher l’intuition. Une autre option est une boule de cristal bien plus petite faite d’un cristal de couleur comme le béryl. Le choix de la boule de cristal importe peu, à condition que l’on se sente à l’aise avec.et qu’on prenne plaisir à l’utiliser. Comme pour tout autre outil de divination, si on ne ressent pas d’attache particulière avec, mieux vaut l’abandonner rapidement.
     
    Préparer la boule de cristal

    Une fois la boule appropriée trouvée, on doit la préparer à la lecture en la lavant à l’eau chaude savonneuse, afin d’éliminer les énergies de toute personne l’ayant touchée. Après l’avoir bien rincée avec de l’eau tiède claire, on la sèche avec un tissu doux qui ne laisse pas de peluches. Le cristal doit être ensuite imprégné de sa propre énergie en manipulant souvent la boule de cristal et en pratiquant la lecture de l’avenir. On peut aussi la consacrer à cet effet. On peut dire cette phrase par exemple en la tenant : « Boule de cristal je te consacre à la prédiction de l’avenir. Merci de travailler avec moi. »
     
    Lire l’avenir dans la boule de cristal

    Lire l’avenir dans une boule de cristal est un procédé similaire à celui utilisé avec un miroir ou un bol d’eau. Confortablement assis dans une pièce faiblement éclairée, la boule de cristal posée sur la table, devant soi ou tenue dans ses mains, on plonge le regard dans ses profondeurs et on laisse ses yeux se relaxer, tout en se concentrant.
    La plupart des personnes utilisant une boule de cristal commencent à voir après quelques minutes des nuages tournoyant en son intérieur. Ces nuages peuvent être tout ce qu’on voit dans la boule de cristal, dans quel cas on étudie leur forme pour savoir s’ils sont porteurs d’un message. Les nuages ont par ailleurs des manières d’offrir des visions qu’on aperçoit, soit dans le cristal, soit dans sa tête.
    Si vous pensez avoir des dons pour lire l’avenir, procurez-vous une boule de cristal.
     
    Interprétation des nuages

    Voici quelques suggestions de ce que les nuages différemment colorés peuvent signifier lorsqu’ils apparaissent dans la boule de cristal. Si leurs couleurs sont combinées, on peut associer leurs significations en conséquence.
    Nuages blancs : La chance est en route
    Nuages dorés : prospérité et abondance, accomplissement et célébrité éventuelle.
    Nuages argentés : Signe très propice annonçant l’arrivée de la chance et de la fortune.
    Nuages rouges : Avertissement, suggérant qu’on doit prendre grand soin et éviter tout risque
    Nuages orange : On entre dans une phase vibrante, animée.
    Nuages bruns : Difficile de voir le chemin pour avancer. Attention aux pièges éventuels.
    Nuages verts : On entre dans une phase prolifique et revigorante. C’est une époque de commencements.
    Nuages bleus : Le voyage est profitable, spécialement sur l’eau ou par les airs.
    Nuages noirs : une période difficile s’annonce, une époque où l’on apprendra beaucoup sur soi-même.
    Les boules de cristal étant chères, il est préférable de tester ses capacités avec un miroir ou un bol d’eau, avant de s’en procurer une.
     

     


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